Alliance et création d’AIT Canada

Alliance et création d’AIT Canada

Le réseau DirectLab a conclu une alliance avec les industries AIT, qui a mené à la création de AIT Canada. Le réseau de laboratoires DirectLab est désormais distributeur officiel des équipements ophtalmiques de l’entreprise.

Mentionnons qu’AIT dessert depuis 1952 le marché américain de la santé visuelle et qu’elle est reconnue comme leader dans les technologies de taillage et de traçage. AIT souhaite désormais étendre son marché et permettre aux professionnels canadiens l’accès à des équipements ophtalmiques de grande qualité. Plus qu’un fournisseur d’équipements de finition, AIT Canada mettra à leur disposition des instruments automatisés, des outils d’ajustement et des instruments ophtalmiques.

Le réseau DirectLab est en constant développement et s’est taillé une place stable auprès des grands joueurs du marché. Parce que la qualité de ses produits et le service à la clientèle sont ses plus grandes priorités, DirectLab rejoint les hauts standards de AIT.

Un défi de taille et un plan à long terme

L’assurance collective

Un défi de taille et un plan à long terme
Par Manon Robert

Au fil des ans, les employeurs ont vu les coûts de leurs régimes collectifs littéralement exploser par les faits suivants : une main-d’œuvre vieillissante, une augmentation des dépenses de médicaments et une hausse marquée des absences et des invalidités.

À elle seule, l’assurance collective pourrait faire l’objet de plusieurs chroniques. D’ailleurs, celle-ci sera le premier de deux volets. Dans un premier temps, je vous expliquerai la relation entre les coûts d’un régime d’assurances collectives et le profil de santé de vos employés, de même qu’une stratégie à considérer pour juguler la hausse des coûts d’un régime collectif.

Comment réagir à une augmentation des coûts ?

Outre les futurs adhérents à un régime collectif, la majorité des clients qui me sollicitent le font fréquemment à l’approche du renouvellement annuel de leur régime, principalement parce que pour la énième fois, les coûts font l’objet d’une hausse importante.

En bons gestionnaires, ils réagissent presque unanimement de la façon suivante : si les coûts ne cessent d’augmenter, je vais songer à diminuer les avantages du régime, sinon je vais changer d’assureur. Conséquemment et devant leur incapacité à trouver des solutions, ils choisissent l’option populaire de retourner sur le marché en espérant que les autres assureurs feront mieux. L’expérience nous démontre que cette solution n’est pas une panacée et se traduit généralement par un exercice laborieux pour les entreprises.

Avant de retourner sur le marché, il serait important pour les sociétés de procéder, avec le support d’un conseiller en assurance et rente collective, à une analyse détaillée de l’utilisation des bénéfices afin d’avoir une meilleure compréhension de la hausse des coûts.

La tendance des dernières années nous révèle que la hausse constante des coûts des régimes collectifs est liée étroitement au profil de santé des bénéficiaires. En effet, les facteurs de risques tels que le tabagisme, l’hyperlipidémie, la sédentarité, l’alimentation pauvre en fruits et légumes, l’obésité abdominale, l’hypertension, le diabète, le stress et l’alcoolisme, ont eu un effet considérable sur l’augmentation de l’usage des bénéfices (exemple : médicaments, soins paramédicaux, invalidité temporaire et permanente).

Comment diminuer ces facteurs de risque?

La grande majorité des régimes donnent lieu à des programmes d’aide aux employés. Autrefois considérés comme un service d’aide psychologique, plusieurs d’entre eux offrent aujourd’hui des ressources telles que des services-conseils en matière de nutrition et des activités visant à améliorer la santé physique.

L’employeur qui motive ses employés à utiliser le Programme d’aide aux employés (PAE) démontre son engagement envers eux ; par ailleurs, il ne sera pas surpris de voir réduire certains problèmes reliés à l’absentéisme et à l’invalidité.

Outre ce programme, il existe également un autre plan appelé gestion du mieux-être et de l’invalidité. Ce dernier est beaucoup plus complet et principalement orienté sur la prévention en milieu de travail et sur l’importance d’avoir une saine habitude de vie. Il peut générer des gains directs tels qu’une productivité accrue, une baisse du taux d’absentéisme et une consommation réduite de médicaments et de soins paramédicaux. La prévention permet de retarder ou d’éviter de 30 % à 50 % de tous les états pouvant nécessiter des soins de santé.

Tous vos efforts consacrés à encourager vos employés à utiliser un PAE ou le programme de gestion du mieux-être et de l’invalidité permettront d’augmenter leur productivité et leur créativité, d’assurer une meilleure rétention de votre personnel et bien sûr, de réduire les coûts de votre régime d’assurance collective.

Nous verrons dans la deuxième partie les différents types de régimes collectifs, leurs avantages ainsi que d’autres stratégies de contrôle des coûts.

* Présidente-fondatrice du cabinet de services financiers, CATENA Solutions Financières Inc.www.catena.ca. Catena signifie en latin «chaîne, maillon». Cette définition illustre parfaitement notre vocation et notre responsabilité de partenaire dont l’objectif principal vise à réunir les conditions nécessaires afin que notre clientèle bénéficie d’un futur financier solide, prospère et serein.

Encadré

Quelques statistiques pertinentes

  • Le coût de l’absentéisme en entreprise, selon le conseil du patronat, est d’environ 20 % de la masse salariale ;
  • Un employé actif physiquement est 12 % plus productif qu’un employé sédentaire ;
  • Un employé non fumeur coûte 3 150 $ de moins par année à une entreprise qu’un employé fumeur.

Comment les consommateurs perçoivent-ils leurs professionnels de la vue?

Comment les consommateurs perçoivent-ils leurs professionnels de la vue?

Les perceptions erronées sur les professionnels de la vue sont étonnamment communes, révèle un nouveau sondage effectué auprès des consommateurs par Transitions Optical, lequel suggère aux intervenants de la vue et de la santé une approche plus collaborative aux soins et à l’éducation des patients. Le sondage, effectué auprès de 1 016 Canadiens, a exploré les perceptions partagées par les consommateurs sur leurs professionnels de la vue, ce qu’ils pensent de l’importance des soins collaboratifs ainsi que les implications liées à la confiance des patients et de leurs habitudes d’achat.

Si une légère majorité des consommateurs (53 pour cent) estiment que les professionnels de la vue ont leurs intérêts à cœur, ils sont tout de même principalement perçus comme des gens d’affaires (44 pour cent) plutôt que comme des professionnels de la santé (40 pour cent). Une importante minorité (19 pour cent) croit même qu’ils diraient à un patient que sa vue a changé, simplement pour lui vendre des lunettes ou des verres de contact. Un autre 15 pour cent des Canadiens affirment ne pas croire que les professionnels de la vue ont leurs intérêts à cœur.

« Les résultats sont pour le moins surprenants et même difficiles à avaler dans certains cas, étant donné le dévouement de la plupart des professionnels de la vue concernant les soins prodigués aux patients », affirme Tim Schmidt, chef du Service des relations avec l’industrie et de l’éducation, de Transitions Optical au Canada. « Cependant, ils nous démontrent l’importance de l’éducation et nous incitent à nous assurer que les patients comprennent bien le rôle des professionnels de la vue et saisissent en quoi les services fournis leur sont bénéfiques. »

Selon le sondage, l’opinion des consommateurs sur leurs professionnels de la vue peut avoir un impact important sur leur loyauté.

La plupart des consommateurs (80 pour cent) ont correctement décrit le rôle de l’opticien dont la fonction principale est de vendre des produits d’optique. Cependant, certains ne savent pas faire la différence entre les tâches qu’exercent les opticiens et celles des autres professionnels de la vue. En effet, 45 pour cent pensent que les opticiens peuvent évaluer la vision et diagnostiquer les problèmes et les troubles de la vue. De tous les professionnels de l’optique, les opticiens sont les plus souvent considérés comme étant des gens d’affaires (68 pour cent). Ils sont aussi ceux qui sont le moins bien perçus, 27 pour cent des patients canadiens croyant même que les opticiens n’ont pas leurs intérêts à cœur.

La plupart des consommateurs (84 pour cent) ont correctement décrit le rôle de l’optométriste comme étant la personne qui évalue la vue et délivre les prescriptions de verres ophtalmiques ou de lentilles cornéennes. Par contre, seulement 64 pour cent comprennent que les optométristes peuvent déceler des maladies oculaires et seulement 62 pour cent ont précisé qu’ils pouvaient examiner les yeux pour identifier des maladies comme le diabète ou l’hypertension.

Le rôle des ophtalmologistes est assez bien connu, avec 85 pour cent des consommateurs décrivant correctement ces professionnels comme étant ceux qui font des chirurgies et 77 pour cent indiquant qu’ils peuvent prescrire et administrer des médicaments.

Presque tous (91 pour cent) les Canadiens sondés accordent une grande importance au partage d’information entre les professionnels de la vue et plus de la moitié (54 pour cent) considèrent extrêmement important que les professionnels de la vue communiquent avec eux et fassent part de leurs recommandations (diagnostic et traitement) à d’autres professionnels de la vue qu’ils ont consultés ou pourraient consulter.

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(Transitions – Tableau ci-après. MARCO, SI C’EST TROP LAID, DIS-LE MOI ET JE RENTRERAI LES DONNÉES POUR QUE TU FASSES MIEUX. MERCI)

                                                                                                                               

Perceptions des professionnels de la vue

 

Guidée Professionnel de la vue Ophtalmologiste Optométriste Opticien
A l’intérêt de ses patients à cœur 53% 66% 60% 30%
Se soucie personnellement de ses patients 45% 55% 53% 26%
Est une personne d’affaires 44% 26% 37% 68%
Professionnel de la santé qualifié 40% 79% 66% 20%
Me dirait que ma vue a changé pour me vendre des lunettes ou des verres de contact 19% 9% 21% 39%
N’a pas l’intérêt de ses patients à cœur 15% 10% 11% 27%
Aucune de ces réponses 14% 9% 9% 9%

Impression FreeSign maintenant disponible au Canada

Impression FreeSign maintenant disponible au Canada

Rodenstock Canada lançait dernièrement au pays le verre Impression FreeSign. Il permet au professionnel de déterminer lui-même les trois principales zones de la lentille – proche, intermédiaire et éloignée – selon les besoins spécifiques du client.

FreeSign s’adapte également au format et à la grandeur de la monture et tient compte pour chaque client du vertex, de l’inclinaison et de la courbure. Cette prescription est établie à l’aide du programme Impression Consulting, un logiciel convivial qui fournit des résultats précis et complets en un court délai.

Les professionnels de la vue peuvent désormais adapter les prescriptions selon des usages spécifiques : un large champ périphérique pour les camionneurs, un plus grand champ visuel rapproché pour les comptables, une zone intermédiaire plus importante pour les conférenciers ou les professeurs qui se servent d’un lutrin.

Les verres Impression FreeSign s’adaptent parfaitement selon les besoins de chacun.

Une campagne de marketing réussie

Une campagne de marketing réussie

En juin 2011, COS a lancé un plan d’affaires conjoint avec Silhouette, le Joint Business Plan (JBP), qui visait à renforcer la position de COS et des professionnels de la vue dans l’environnement concurrentiel de l’industrie de l’optique. Cette campagne marketing stratégique de huit semaines avait pour but d’amener les consommateurs à se rendre chez les professionnels de la vue participants. COS a communiqué la promotion via une variété de médias, dont la radio et le Web. Les messages radio, les bannières Web, les courriels promotionnels et le référencement Web convergeaient vers un seul et même endroit : le microsite créé pour la campagne Soyeztransparent.ca.

Ce site offrait aux consommateurs la possibilité de se renseigner sur les produits Silhouette et sur les détails de la promotion, de télécharger un coupon rabais et de chercher les détaillants participants dans un localisateur de magasin en ligne. Durant la campagne, le microsite a enregistré près de 40 000 visites, générant le téléchargement de plus de 1 250 coupons. La compagnie a pu observer une augmentation des ventes de montures percées Silhouette de 17 % chez les comptes participants pour la période de mai-juin 2011, par rapport à celle de 2010. En plus de la campagne média, ces résultats s’expliquent par une motivation plus élevée chez les détaillants participants que chez les non-participants. « Les résultats ont été surprenants; dans le Web, le taux de conversion normal pour les coupons téléchargés est de 1 % pour tout produit et service confondu.  Pendant les huit semaines du JBP, nous avons enregistré un taux de conversion de 3,1 %, un succès pour cette campagne convergente. En effet, ceci démontre la capacité de COS à identifier et rejoindre le consommateur cible Silhouette en ligne et sur le reste des médias », explique le directeur du marketing chez COS, Manuel Magini.

Silhouette et COS félicitent tous les bureaux optiques qui ont participé au JBP à travers le Canada. Le prix du bureau d’optique le plus performant de la campagne revient à Ivan Optical, Ontario. Il gagne un voyage d’une semaine en Autriche pour visiter Salzbourg, Vienne et la manufacture Silhouette, dans la ville de Linz. La valeur de ce prix est de 4 000 $.

Ogi Eyewear distribuera directement ses montures au Canada

Ogi Eyewear distribuera directement ses montures au Canada

Ogi Eyewear vient d’adopter une nouvelle structure de distribution directe. La compagnie précédente Ogi Canada ne distribuera plus les montures au pays. Les commandes et envois seront dorénavant assurés par Ogi Eyewear North America.

« Au cours des trois dernières années, Ogi Eyewear a perfectionné sa distribution de produits. L’implantation d’un logiciel SAP nous a permis d’atteindre un taux d’excellence du service à la clientèle, évalué à 99 pour cent à l’échelle mondiale », précise Joe Tallier, vice-président des ventes mondiales chez Ogi Eyewear. « Aux États-Unis, notre service à la clientèle est vraiment hors pair et nous souhaitons importer au Canada cette excellence. Nous avons réussi à monter une belle équipe des ventes et sommes heureux de saisir l’occasion pour annoncer la nomination de Guy Boucher au poste de directeur des ventes pour le Canada. Sa grande expérience et sa réputation sans failles lui seront utiles dans la composition et la formation de notre nouvelle équipe des ventes. »

Ogi Eyewear North America distribuera auCanadales montures Ogi Eyewear, Ogi Kids, Seraphin et ScojoNew York.

Un site irREYsistible

Un site irREYsistible

Si la marque marseillaise J.F. Rey est fréquemment récompensée dans les plus prestigieux salons internationaux pour son design créatif, c’est bel et bien pour son activité marketing qu’elle se fait aujourd’hui remarquer.

En effet, la nouvelle formule de son site Web www.jfrey.fr s’est vue récompensée par les «Trophées de la Communication 2011» dans la catégorie Meilleur site internet français de PME-PMI, pour la qualité des services proposés, son ergonomie et son design.

Cette récompense vient saluer la qualité du travail de l’équipe Marketing & Communication du designer, qui propose ainsi un outil multicible de grande qualité à ces nombreux fans.

Outre un espace grand public et un second réservé aux partenaires de la presse, Il intègre également (et c’est là où réside l’originalité) un espace pro exclusivement réservé aux points de vente du monde entier, qui leur permet de profiter d’une grande panoplie d’outils de travail et d’aide à la vente destinés à les accompagner dans leur quotidien.

Otto Kern se lance dans la fibre de carbone

Otto Kern se lance dans la fibre de carbone

La célèbre marque allemande Otto Kern, connue mondialement pour ses parfums, lignes de vêtements et accessoires de mode, vient de lancer sa nouvelle ligne de montures percées en fibre de carbone et titane.

La fibre de carbone est un matériau léger et résistant utilisé en aéronautique, notamment dans la construction de l’Airbus A380 ou la fabrication des ailes de navettes spatiales. Les qualités de cette fibre sont maintenant utilisées dans la confection de montures de lunettes afin de leur donner encore plus de légèreté et de robustesse

La collection Otto Kern propose des branches en carbone épurées et un design avant-gardiste en deux couleurs : noir et gris clair. Le tissage de la fibre de carbone donne l’illusion d’une image holographique en trois dimensions. Les tenons et le pont en titane sont proposés dans différents styles et couleurs. De plus, pour obtenir une meilleure tenue et plus de souplesse, les branches sont renforcées par une tige de titane.

Un large choix de formes de verres de présentation permettra aux professionnels de la vue de rejoindre une vaste clientèle. Le montage sans vis ne comporte aucune difficulté particulière pour les laboratoires et assure une très bonne stabilité aux verres.

Les montures Otto Kern sont assorties d’un étui et d’une garantie de deux ans. Optique Vision 2000 en assure la distribution au Canada.

Une soirée qui rapporte 110 000 $

La Fondation des maladies de l’œil a récolté 110 000 $ à l’issue de la 15e édition de son souper-spectacle au profit de la recherche sur les maladies oculaires. L’événement, qui comptait aussi un encan-bénéfice, s’est déroulé le 22 novembre dernier au Théâtre du Capitole de Québec sous la présidence d’honneur de José Adam, président de Stéréo Plus Bouvier.

Cette activité de financement permettra de soutenir plusieurs projets de recherche sur les maladies oculaires ainsi que des activités de prévention et de sensibilisation comme le programme « Participe pour voir ». Pour de plus amples renseignements visitez le site www.mesyeuxjyvois.com.

Hoya lance Alliance

Hoya lance Alliance

Hoya Vision Care Canada vient de lancer Alliance, une toute nouvelle lentille numérique progressive dont le design et la prescription se trouvent sur la face arrière – une première dans sa ligne de produits. S’ajoute à cette lentille l’utilisation d’un matériau de pointe et la technologie des antireflets.

Hoya s’est notamment fait connaître par son design de lentille breveté iD, intégrant une technologie de double surface, et par sa technologie TrueForm, toute récente dans sa gamme de lentilles iQ. Ce procédé marie les éléments progressifs sur le devant du verre à un surfaçage free-form à l’arrière. Le nouveau verre Alliance complète ainsi parfaitement la gamme des lentilles numériques de Hoya en comblant le vide qui existait entre les TrueForm et les free-form.

En tenant compte des mesures propres à chaque patient, la lentille Alliance est réellement personnalisée. Le design repose sur trois prises de mesure différentes : l’angle pantoscopique, la distance verre-œil et l’angle panoramique. Bien que ces mesures avancées ne soient pas requises (des valeurs par défaut seront utilisées si non fournies), elle peuvent être ajoutées à la commande afin d’optimiser la prescription lors de l’ajustement d’une monture spécifique.

« L’un des nombreux avantages du design de ces lentilles est la très large gamme de matériaux à laquelle il peut convenir, contrairement à nos autres lentilles free-form. De plus, nous pouvons offrir l’option de la polarisation pour chaque indice », précise Maria Petruccelli, directrice du marketing chez Hoya Vision Care Canada. Les consommateurs pourront également bénéficier des revêtements Super Hi Vision AR et d’un service de laboratoire de qualité supérieure. La lentille est offerte avec deux hauteurs d’ajustement au choix : 18 mm pour l’Alliance et 15 mm pour l’Alliance Mini.